Lo p'tét ôjé
Nôs étïns en otôbre, è y faisait dje frais. Ïn maitïn lo p'tét ôjé que faisait l'fô ât tchoi d'son yét.
È é voyu montaie dains son aîbre, main aivô ses p'tétes tchaimbes è n'ai poyu.
È s'ât dit : i vé bïn trovaie quéqu'un po me rétchâdaie ; è é raivoétaie dains les alentos che è yi aivait quéqu'un . È yi aivait ènne vaitche que paîturait (tchaimpoiaie) niampe bïn loin.
È é aivut di ma d'airivaie vâs lée ; tiaind è é aivut r'pris sön schioûche è é ècmencie de raicontaie sai mésaiventur en cte raimèlle qu'euvraie bïn sés arayes.
Te vois mon p'tét yi n'sero fére graind-t'chose po toi, è yi é ènne tchose qui pe fére : quase te pïnces d'ïn bé bousèt bon tchâ.
Che tot di, èlle yeuve lai quoûe ; ïn bé moché s'ât étiafaie pai tierre cment ïn bé totché en lai fryure.
Lo p'tét é sâtaie d'dains ; è é ècmencie è tchaintaie cment un cra ; tiain ât vni vâs lu ïn bé r'naid que l'ai prit dains sés mains po l'nenttayie. Tiain è feut bïn nat è lai maindgie.
S'quai fat r'teni dâ s'thistoire :
Stû qu'te botte dains lai miedge, n'te veupe pe forçhément di mâ.
Stû que t'tir feûs d'lai miedge, n'te veupe pe forçhément di bïn.
tiaind t'ât dains lai miedge, chiô tai geul !
Le petit oiseau
Nous étions en octobre, il y faisait déjà froid. Un matin le petit oiseau qui faisait le fou est tombé de son lit.
Il a voulu monter dans son arbre, mais avec ses petites jambes il n'a pu.
Il s'est dit : je vais bien trouver quelqu'un pour me réchauffer ; il a regardé dans les alentours s'il y avait quelqu'un. Il y avait une vache qui pâturait non pas bien loin.
Il a eu du mal d'arriver vers elle ; quand il a eu repris son souffle, il a commencé de raconter sa mésaventure à cette raimèlle (vache à robe rouge et blanche) qui ouvrait bien ses oreilles.
Tu vois mon petit, je ne peux faire grand-chose pour toi ; il y a une chose que je peux faire : qu'est-ce que tu penses d'une belle merde bien chaude.
Sitôt dit, elle lève la queue ; un beau morceau s'est éclaboussé par terre comme un beau gâteau à la crème.
Le petit a sauté dedans ; il a commencé à chanter comme un corbeau ; quand est venu vers lui un beau renard qui l'a pris dans ses mains pour le nettoyer. Quand il fut propre, il l'a mangé.
Ce qu'il faut retenir de cette histoire :
Celui qui te met dans la m... ne te veux pas forcément du mal.
Celui qui te tire de la m... ne te veux pas forcément du bien.
Quand tu es dans la merde, ferme ta gueule !
Raconté par Patrick et écrite par Sylvian
CAID Delémont
Description :
Chers membres du CAID
En 1997 - trois copains, Jean-Claude Bussat, ✝Francis Chételat et Pierre Steger ont lancé l'idée d'un Club en Informatique pour les Aînés de Delémont et d'ailleurs. D'où le nom de CAID.
Pro Senectute a tout de suite accepté de soutenir ce club. Depuis lors, les intéressés se retrouvent tous les lundi matin, de 8h à 11h, pour le fans du PC et vendredi de 9h à 11h pour les fans de MAC, sis dans les locaux de l'Espace Loisirs de Pro Senectute, Rue du Puits 4 à Delémont, pour partager leurs connaissances en informatique, internet, e-mail ou courriel, trucs et astuces, de programmes ou de l'ordinateur.
Toutes et tous, vous êtes les bienvenus au club.
Maintenant c'est à chacun d'utiliser ce forum et l'enrichir à sa guise.
Une seule chose compte: l'utiliser pour échanger ses connaissances, ses déouvertes en informatique, ou tout autre raison de partager son savoir.
Donc un lieu d'échange qui a pour seul critère: l'amitié et le respect des autres.
Bernard Babey, Jean-Claude Bussat, Louis Jeanbourquin photgraphe, Pierre Steger
Nous sommes des survivants, des rescapés
Pour ceux qui sont nés avant 1940
Nous sommes nés avant la télévision, avant la pénicilline, avant les produits surgelés, les photocopies, le plastique, les verres de contact, la vidéo et le magnétoscope, et avant la pilule. Nous étions là avant les radars, les cartes de crédit, la bombe atomique, le rayon laser, avant le stylo à bille, avant la climatisation, avant les chemises sans repassage, et avant que l'homme marche sur la lune.
Nous nous sommes mariés avant de vivre ensemble. La vie en communauté se passait au couvent. Le fast-food pour les Anglais, était un menu de carême et un big-mac était un grand manteau de pluie. Il n'y avait pas de mari au foyer, pas de congé parental, pas de téléscopie ni de courrier électronique.
Nous datons de l'ère d'avant les HLM et d'avant les pampers. Nous n'avions jamais entendu parler de modulation de fréquence, de c½ur artificiel, de transplant, de machine à écrire électronique, ni de jeunes gens portant une boucle d'oreille.
Pour nous, un ordinateur était quelqu'un qui conférait un ordre ecclésiastique, une puce était un parasite, et une souris était de la nourriture de chat. Les paraboles se trouvaient dans la bible, pas sur les toits. Un site était un point panoramique, un CD-Rom nous aurait fait penser à une boisson jamaïcaine, un joint empêchait un robinet de goutter, l'herbe était pour les vaches, et une cassette servait à ranger les bijoux. Un téléphone cellulaire aurait été installé dans un pénitencier. Le rock était une matière géologique, un gai (prononcé gay en anglais) était quelqu'un qui faisait rire et made in Taiwan était de l'exotisme.
Mais nous étions sans doute une race robuste et vivace, quand on songe à tous les changements qui ont bouleversé le monde et à tous les ajustements que nous avons su négocier. Pas étonnant que nous nous sentions parfois sûrs et fiers d'avoir su sauter le fossé entre nous et la génération d'aujourd'hui. D'ailleurs, nous sommes prêts à recevoir quelques francs par courrier électronique, n'est-ce pas les « CAID » ?
Grâce soit rendue à Dieu, nous sommes toujours là. Nous sommes après tout
un bon cru !
Pour ceux qui sont nés avant 1940
Nous sommes nés avant la télévision, avant la pénicilline, avant les produits surgelés, les photocopies, le plastique, les verres de contact, la vidéo et le magnétoscope, et avant la pilule. Nous étions là avant les radars, les cartes de crédit, la bombe atomique, le rayon laser, avant le stylo à bille, avant la climatisation, avant les chemises sans repassage, et avant que l'homme marche sur la lune.
Nous nous sommes mariés avant de vivre ensemble. La vie en communauté se passait au couvent. Le fast-food pour les Anglais, était un menu de carême et un big-mac était un grand manteau de pluie. Il n'y avait pas de mari au foyer, pas de congé parental, pas de téléscopie ni de courrier électronique.
Nous datons de l'ère d'avant les HLM et d'avant les pampers. Nous n'avions jamais entendu parler de modulation de fréquence, de c½ur artificiel, de transplant, de machine à écrire électronique, ni de jeunes gens portant une boucle d'oreille.
Pour nous, un ordinateur était quelqu'un qui conférait un ordre ecclésiastique, une puce était un parasite, et une souris était de la nourriture de chat. Les paraboles se trouvaient dans la bible, pas sur les toits. Un site était un point panoramique, un CD-Rom nous aurait fait penser à une boisson jamaïcaine, un joint empêchait un robinet de goutter, l'herbe était pour les vaches, et une cassette servait à ranger les bijoux. Un téléphone cellulaire aurait été installé dans un pénitencier. Le rock était une matière géologique, un gai (prononcé gay en anglais) était quelqu'un qui faisait rire et made in Taiwan était de l'exotisme.
Mais nous étions sans doute une race robuste et vivace, quand on songe à tous les changements qui ont bouleversé le monde et à tous les ajustements que nous avons su négocier. Pas étonnant que nous nous sentions parfois sûrs et fiers d'avoir su sauter le fossé entre nous et la génération d'aujourd'hui. D'ailleurs, nous sommes prêts à recevoir quelques francs par courrier électronique, n'est-ce pas les « CAID » ?
Grâce soit rendue à Dieu, nous sommes toujours là. Nous sommes après tout
un bon cru !
Salut Pierre;
Je tiens à te signaler que j'ai beaucoup apprécié la matinée de travail de mercredi et te remercie pour ton engagement; à mon avis c'est dans de telles conditions qu'on avance.;
Je pense que tu connais le site http://www.demowordexcel.info je te pose les questions suivantes.
- A mon avis la leçon 32 ne joue pas: en effet si on veut modifier les marges en passant pas "aperçu avant impression", en modifiant les curseurs, il faut que la double flèche apparaisse.
- D'autre part, je n'arrive pas à m'en sortir avec les exercices; il n'y a pas moyen de sélectionner quelque chose.
Qu'en penses - tu?
Cordialement.
Théo Voelke.
Je tiens à te signaler que j'ai beaucoup apprécié la matinée de travail de mercredi et te remercie pour ton engagement; à mon avis c'est dans de telles conditions qu'on avance.;
Je pense que tu connais le site http://www.demowordexcel.info je te pose les questions suivantes.
- A mon avis la leçon 32 ne joue pas: en effet si on veut modifier les marges en passant pas "aperçu avant impression", en modifiant les curseurs, il faut que la double flèche apparaisse.
- D'autre part, je n'arrive pas à m'en sortir avec les exercices; il n'y a pas moyen de sélectionner quelque chose.
Qu'en penses - tu?
Cordialement.
Théo Voelke.
Sujet : info
Message :
Louis m'avait fait parvenir ce qui suit, TSR, Mise au Point de dimanche soir la Boillat. . . Mais je n'avais pas Realplayer.
http://www.javascript:void('6598852');tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=500009&bcid=0413521&vid=6598852
à télécharger sur rsr.ch = radio suisse romande Sylvian
Message :
Louis m'avait fait parvenir ce qui suit, TSR, Mise au Point de dimanche soir la Boillat. . . Mais je n'avais pas Realplayer.
http://www.javascript:void('6598852');tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=500009&bcid=0413521&vid=6598852
à télécharger sur rsr.ch = radio suisse romande Sylvian
Merci à J.-Cl. Gansel de nous livrer cette qualité de réflexion.
Bonjour à Toutes et à Tous,
« Pendant dix ans d'études, j'ai appris à palper, manipuler, inciser, suturer, bander, plâtrer, ôter des corps étrangers à la pince, mettre le doigt ou enfiler des tuyaux dans tous les orifices possibles, piquer, perfuser, percuter, secouer, faire un « bon diagnostic », donner des ordres aux infirmières, rédiger une observation dans les règles de l'art et faire quelques prescriptions, mais pendant toutes ces années,
Jamais on ne m'a appris à soulager la douleur, ou à éviter qu'elle n'apparaisse.
Jamais on ne m'a dit que je pouvais m'asseoir au chevet d'un mourant et lui tenir la main, et lui parler. »
Martin Winckler, « La maladie de Sachs », Le Grand Livre du Mois, ISBN : 2 7028 2110 3 , p. 423
Plein d'Amitiés et/ou de bises _ à vous de voir _
à Toutes et à Tous.
Jean-Claude GANSEL
--------------------------------------
jeanclaude.GANSEL@club-internet.fr
33120 Arcachon
06-63-76-20-
Bonjour à Toutes et à Tous,
« Pendant dix ans d'études, j'ai appris à palper, manipuler, inciser, suturer, bander, plâtrer, ôter des corps étrangers à la pince, mettre le doigt ou enfiler des tuyaux dans tous les orifices possibles, piquer, perfuser, percuter, secouer, faire un « bon diagnostic », donner des ordres aux infirmières, rédiger une observation dans les règles de l'art et faire quelques prescriptions, mais pendant toutes ces années,
Jamais on ne m'a appris à soulager la douleur, ou à éviter qu'elle n'apparaisse.
Jamais on ne m'a dit que je pouvais m'asseoir au chevet d'un mourant et lui tenir la main, et lui parler. »
Martin Winckler, « La maladie de Sachs », Le Grand Livre du Mois, ISBN : 2 7028 2110 3 , p. 423
Plein d'Amitiés et/ou de bises _ à vous de voir _
à Toutes et à Tous.
Jean-Claude GANSEL
--------------------------------------
jeanclaude.GANSEL@club-internet.fr
33120 Arcachon
06-63-76-20-
Envoyé le : 06/04/2006 09:12:26
Sujet : info
Message :
Louis m'avait fait parvenir ce qui suit, TSR, Mise au Point de dimanche soir la Boillat. . . Mais je n'avais pas Realplayer.
http://www.javascript:void('6598852');tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=500009&bcid=0413521&vid=6598852
à télécharger sur rsr.ch = radio suisse romande Sylvian
Sujet : info
Message :
Louis m'avait fait parvenir ce qui suit, TSR, Mise au Point de dimanche soir la Boillat. . . Mais je n'avais pas Realplayer.
http://www.javascript:void('6598852');tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=500009&bcid=0413521&vid=6598852
à télécharger sur rsr.ch = radio suisse romande Sylvian
Salut Pierre,
Elle a vraiment de la gu...., la décapotable que tu as
dénichée et affichée. La première fois que je la vis,
il s'en est fallu d'un poil que je l'acquisse. Quelqu'un,
je ne sais plus qui, m'énuméra, avec beaucoup d'insistance,
les inconvénients d'une telle nacelle sous nos climats
humides. La Caifornie et la Route 66 sont mieux adaptées,
mais hors de portée. J'acquiesçai et c'est ainsi que je me
rabattis sur celle dont il est question ici. Les regrets
s'avanouirent à mesure que le temps passa.
Elle a vraiment de la gu...., la décapotable que tu as
dénichée et affichée. La première fois que je la vis,
il s'en est fallu d'un poil que je l'acquisse. Quelqu'un,
je ne sais plus qui, m'énuméra, avec beaucoup d'insistance,
les inconvénients d'une telle nacelle sous nos climats
humides. La Caifornie et la Route 66 sont mieux adaptées,
mais hors de portée. J'acquiesçai et c'est ainsi que je me
rabattis sur celle dont il est question ici. Les regrets
s'avanouirent à mesure que le temps passa.
Pierre,
J'ai lancé un cri de détresse sur le blog et, cela a suffit pour retrouver le bon chemin. Que faire le laisser et voir si secours arrive ? Fernand est averti et seulement son mail, sa présence m'ont permis de refaire juste...
A +
Lily
J'ai lancé un cri de détresse sur le blog et, cela a suffit pour retrouver le bon chemin. Que faire le laisser et voir si secours arrive ? Fernand est averti et seulement son mail, sa présence m'ont permis de refaire juste...
A +
Lily
Lai vétche dâ Daime Huguette
Pain â burre di d'Jura.
Heûte cent g de fairainne dâ boinne qualitè
Ïn tiube de l'vure
Cent g de burre
Set dl de laicé : di laicé d'lai laitrie ô di paiysain nian écrémè
Ènne tiuliere â sope de sâ
Ènne tiuliere â caflat de socre
Apprataie :
Botaie lai l'viure aivô l'burre dains lo laicé èt peus mélindgie : che lo laicé ât trop tchâd vôs vlaie breûlaie lai l'vure.
Botaie lai fairainne dains ïn gros bol aivô lai sâ èt mélindgie, po cheûdre vôs dvèz pare ïn graind tiu de dgerainne po mélindgie lo laicé aivô lai fairainne.
Traivaiyie lai paîte po qu'èlle ne côlle pus és mains, r'ceuvrire aivô ïn échûe- main qu'ât ïn po moyie èt peus laichie r'pôsaie ènne houre èt demé, dains ïn car ïn po â tchâd.
Apprâtaie lai vétche s'lon vôs idaies chu lai plaîtche â totché, r'ceuvrire d'aivô l'échûe-main vint menutes.
Botaie aivô ïn p'tét pïnceau ïn djane d'ûe, étchafaie l'fô â dou cent, è ne fâpe rébiaie d'botaie ènne étyuate d'âve â fond di fô po qu'èlle ne venieuche pe satche, è fât ènne boinne houre po qu'èlle feuche bïn tieûte.
La vaique de Mame Huguette
Pain au beurre jurassien
800 g de farine de bonne qualité
1 cube de levure
100 g de beurre
Environ 7 dl de lait cru = lait ouvert de la laiterie non écrémé !
1 c. à soupe de sel
1 c. à café de sucre
Mettez la levure et le beurre dans le lait tiède et mélangez : si le lait est trop chaud vous brûlerez la levure.
Mettez la farine dans un grand bol avec le sel et mélangez, ensuite prenez un grand cul de poule ; mélangez le lait et la farine.
Travaillez la pâte afin qu'elle ne colle plus aux mains, recouvrez avec un linge légèrement humide et laissez reposer la pâte
durant 1 h 30 dans un endroit tempéré.
Préparez la vaique selon vos idées sur la plaque ; couvrez là avec le linge durant 20 mn.
Badigeonnez avec un jaune d'½uf votre joli travail, préchauffez votre four à 200 c°, n'oubliez pas de mettre un bol d'eau dans un coin de votre four sans quoi elle sera sèche, la cuisson est d'environ une heure.
Mame Huguette
Pain â burre di d'Jura.
Heûte cent g de fairainne dâ boinne qualitè
Ïn tiube de l'vure
Cent g de burre
Set dl de laicé : di laicé d'lai laitrie ô di paiysain nian écrémè
Ènne tiuliere â sope de sâ
Ènne tiuliere â caflat de socre
Apprataie :
Botaie lai l'viure aivô l'burre dains lo laicé èt peus mélindgie : che lo laicé ât trop tchâd vôs vlaie breûlaie lai l'vure.
Botaie lai fairainne dains ïn gros bol aivô lai sâ èt mélindgie, po cheûdre vôs dvèz pare ïn graind tiu de dgerainne po mélindgie lo laicé aivô lai fairainne.
Traivaiyie lai paîte po qu'èlle ne côlle pus és mains, r'ceuvrire aivô ïn échûe- main qu'ât ïn po moyie èt peus laichie r'pôsaie ènne houre èt demé, dains ïn car ïn po â tchâd.
Apprâtaie lai vétche s'lon vôs idaies chu lai plaîtche â totché, r'ceuvrire d'aivô l'échûe-main vint menutes.
Botaie aivô ïn p'tét pïnceau ïn djane d'ûe, étchafaie l'fô â dou cent, è ne fâpe rébiaie d'botaie ènne étyuate d'âve â fond di fô po qu'èlle ne venieuche pe satche, è fât ènne boinne houre po qu'èlle feuche bïn tieûte.
La vaique de Mame Huguette
Pain au beurre jurassien
800 g de farine de bonne qualité
1 cube de levure
100 g de beurre
Environ 7 dl de lait cru = lait ouvert de la laiterie non écrémé !
1 c. à soupe de sel
1 c. à café de sucre
Mettez la levure et le beurre dans le lait tiède et mélangez : si le lait est trop chaud vous brûlerez la levure.
Mettez la farine dans un grand bol avec le sel et mélangez, ensuite prenez un grand cul de poule ; mélangez le lait et la farine.
Travaillez la pâte afin qu'elle ne colle plus aux mains, recouvrez avec un linge légèrement humide et laissez reposer la pâte
durant 1 h 30 dans un endroit tempéré.
Préparez la vaique selon vos idées sur la plaque ; couvrez là avec le linge durant 20 mn.
Badigeonnez avec un jaune d'½uf votre joli travail, préchauffez votre four à 200 c°, n'oubliez pas de mettre un bol d'eau dans un coin de votre four sans quoi elle sera sèche, la cuisson est d'environ une heure.
Mame Huguette
Partage