Chers membres du CAID
En 1997 - trois copains, Jean-Claude Bussat, ✝Francis Chételat et Pierre Steger ont lancé l'idée d'un Club en Informatique pour les Aînés de Delémont et d'ailleurs. D'où le nom de CAID.
Pro Senectute a tout de suite accepté de soutenir ce club. Depuis lors, les intéressés se retrouvent tous les lundi matin, de 8h à 11h, pour le fans du PC et vendredi de 9h à 11h pour les fans de MAC, sis dans les locaux de l'Espace Loisirs de Pro Senectute, Rue du Puits 4 à Delémont, pour partager leurs connaissances en informatique, internet, e-mail ou courriel, trucs et astuces, de programmes ou de l'ordinateur.
Toutes et tous, vous êtes les bienvenus au club.
Maintenant c'est à chacun d'utiliser ce forum et l'enrichir à sa guise.
Une seule chose compte: l'utiliser pour échanger ses connaissances, ses déouvertes en informatique, ou tout autre raison de partager son savoir.
Donc un lieu d'échange qui a pour seul critère: l'amitié et le respect des autres.
Bernard Babey, Jean-Claude Bussat, Louis Jeanbourquin photgraphe, Pierre Steger
Nous sommes des survivants, des rescapés Pour ceux qui sont nés avant 1940 Nous sommes nés avant la télévision, avant la pénicilline, avant les produits surgelés, les photocopies, le plastique, les verres de contact, la vidéo et le magnétoscope, et avant la pilule. Nous étions là avant les radars, les cartes de crédit, la bombe atomique, le rayon laser, avant le stylo à bille, avant la climatisation, avant les chemises sans repassage, et avant que l'homme marche sur la lune....
Lily, Posté le dimanche 09 avril 2006 20:20
Jean-Pierre quel beau texte! En tant que rescapée, je confirme et me permets d'ajouter que l'éclairage à l'électricité faisait défaut à bien des endroits, dans les campagnes beaucoup utilisaient encore le pétrole, dans les villes le gaz, et l'eau courante, en ville on tournait le robinet, en campagne il fallait la pomper, remplir un réservoir situé plus haut que la tuyauterie, compter les coups pour ne pas le faire déborder, dans beaucoup de fermes les vaches étaient menées à l'abreuvoir quelques fois par jour, l'eau a disposition était un luxe encore peu répandu.