Chers membres du CAID
En 1997 - trois copains, Jean-Claude Bussat, ✝Francis Chételat et Pierre Steger ont lancé l'idée d'un Club en Informatique pour les Aînés de Delémont et d'ailleurs. D'où le nom de CAID.
Pro Senectute a tout de suite accepté de soutenir ce club. Depuis lors, les intéressés se retrouvent tous les lundi matin, de 8h à 11h, pour le fans du PC et vendredi de 9h à 11h pour les fans de MAC, sis dans les locaux de l'Espace Loisirs de Pro Senectute, Rue du Puits 4 à Delémont, pour partager leurs connaissances en informatique, internet, e-mail ou courriel, trucs et astuces, de programmes ou de l'ordinateur.
Toutes et tous, vous êtes les bienvenus au club.
Maintenant c'est à chacun d'utiliser ce forum et l'enrichir à sa guise.
Une seule chose compte: l'utiliser pour échanger ses connaissances, ses déouvertes en informatique, ou tout autre raison de partager son savoir.
Donc un lieu d'échange qui a pour seul critère: l'amitié et le respect des autres.
Bernard Babey, Jean-Claude Bussat, Louis Jeanbourquin photgraphe, Pierre Steger
Armand, Posté le lundi 01 mai 2006 10:52
C'est un beau coin de pays. Grâce au golf, il sera entretenu, le château mis en valeur et restauré et pourquoi pas rentable... A 40 minutes de Bâle, ce sera une excellente carte de visite pour Delémont qui, malheureusement continue de stagner. Il faut le voir comme un premier pas vers un développement harmonieux. Armand
Amédée, Posté le lundi 01 mai 2006 16:34
Merci à Sylvian et à Armand,
Effectivement, un golf mettra le site en valeur et le préservera des imbicilités commises par certains agriculteurs peu respectueux de l'environnement.
Si vous montez au Domont par le pâturage, vous constaterez que celui-ci n'existe plus. Il a été labouré, engraissé et voué à l'agriculture. On y a fait crever deux magnifiques arbres centenaires qui portaient trop d'ombre...
J'y ai vu, il y quelques années en arrière, une hécatombe de petit batraciens qui avaient été "traités" comme le colza.
Avide de terre cultivable un brave paysan n'a pas hésité non plus à labourer le chemin vicinal qui reliait, à travers prés, via la forêt, le chemin du pâturage à la ferme de la Combatte. Sur pression de la Bourgeoisie, il a été heureusement contraint de le remettre en état.
D'autre part, plus l'agriculture suisse produit et plus elle nous coûte cher, subventionnée qu'elle est comme ce n'est pas possible. En effet, les produits que nous trouvons sur les marchés européen ou mondial sont infiniment moins cher. Pour le blé, cela passe du simple au double. Donc moins d'hectares cultivables = moins de subventions.
Amédée